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Retour à la ville et à sa pollution

May 31

Aujourd’hui vendredi 13 avril, nous prenons un bus pour revenir à Katmandou et à sa pollution. Le bus nous dépose sur une avenue (enfin, une grande rue aussi cabossée et entravée que toutes les autres mais en plus large) qui nous est inconnue. Nous négocions ferme un taxi pour rejoindre un quartier réputé pour ses auberges de jeunesse pas chères. On monte dedans, il tourne dans une rue et… nous dépose ! 2€ pour ça ! Ah  oui il nous a bien eu ! Après deux essais infructueux (les auberges sont pleines pour le nouvel an népalais : l’année 2069) nous négocions une chambre pas trop trop hors de prix dans un petit hôtel sans prétention au jardin charmant. Et c’est à 5 min à pied au nord de Thamel, le quartier central, des temples et de la vie touristique. Nous sortons faire un tour dans le centre-ville et découvrons l’hyper-animation de Thamel, ultra-coloré, bruyant, fourmillant, aux mille encens fixés et se consumant sur chaque mur (encore une fois bonne méthode pour masquer l’odeur des déchets omniprésents). Les rabatteurs sont moins oppressants qu’en Inde, les couleurs et les odeurs différentes, la saleté est différente, mais on y retrouve la même fièvre, les saris en moins. L’hindouisme est très présent, les rues sont encore marquées d’Holi, la fête des couleurs. Les tarifs sont plus élevés qu’en Inde en tout cas, pour pratiquement tout. On a bien fait de dépenser notre budget cadeau avant !

Nicolas lui est parti un jour plus tôt de Sauraha pour aller faire du Canyoning dans les montagnes népalaises. La route est assez chaotique mais très belle, serpentant au coeur d’une vallée surplombée par les rizières en terrasses. On passe au milieu de petits villages où les bufflent se baladent tranquillement en revenant des champs. Après 3h de route, notre chauffeur dépose Nico et sa nouvelle amie Andrée qui va l’accompagner dans cette aventure à leur hôtel. L’ambiance y est très sympa, une centaine de népalais émerge doucement de leur soirée, ils ont en effet fêté le nouvel an bouddhiste la veille et apparemment, la soirée était plutôt bien arrosée. Le cadre est très reposant: le site est encerclé par les montagnes et les chambres sont en réalité de larges tentes au bord d’un cours d’eau. Le premier jour est réservé à l’apprentissage des bases techniques du canyoning, c’est beaucoup plus dur que ce qu’on pourrait croire! Il faut bien rester perpendiculaire à la paroi, au risque de glisser et donc de se faire une bonne frayeur et d’approcher la paroi rocheuse d’un peu trop près!

Le deuxième jour les choses sérieuses commencent, Andrée a préféré rester à l’hôtel après l’expérience du premier jour et Nico part donc à la conquête des cascades seul avec son guide. L’émotion et l’adrénaline sont à leur apogée lorsqu’il s’agit de se lancer dans la plus grande cascade du parcours, surnommée Big Jombo… L’eau chute à un débit impressionnant et la cascade fait 45m de haut!

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Chitwan national Parc, dans la jungle à dos d’éléphant

May 31

Aujourd’hui jeudi 12 avril, on rejoint le centre-ville où doit nous attendre une Jeep. Mais le guide est furieux, nous avons 15 minutes de retard…comment ça ? Mais pas sur nos montres ! ¼ d’heure de décalage horaire avec l’Inde ? Quoi ? Mais c’est une blague ! Déjà qu’il y avait 3h30 de décalage entre Singapour et Bombay ! Décidément ils se calent sur d’étranges fuseaux horaires dans cette partie du monde ! Les éléphants d’Asie ont beau être beaucoup plus petits que leurs confrères d’Afrique, ils restent très impressionnants ! La rencontre est émouvante. On redevient petit enfant devant ces animaux qu’on a tant rêvé, tant vu dans les dessins animés. D’ailleurs le Livre de la Jungle s’est largement inspiré de la faune et de la flore du Chitwan National Park, notamment pour ses fameux tigres. Tigres que nous n’aurons pas l’occasion d’apercevoir, il faudrait s’enfoncer beaucoup plus profondément dans la jungle. En attendant, bon an mal an nous avançons parmi les feuillages épais, balancés par le roulis du postérieur du pachyderme. Sa peau est très dure et poilue.

La Cornac, son maître, le dirige avec ses pieds. Il nous montre des cerfs, des biches, des paons, des singes aussi, et même des empreintes de tigres. Mais pas de rhinocéros pour les filles, seul Nicolas les a vu lors de son excursion. A la fin, la jeep nous attend pour rejoindre le centre-ville de Sauhara d’où nous rejoignons la rivière. C’est ici que les Cornacs viennent faire prendre le bain à leurs éléphants. Ils sont là, tout heureux de faire trempette, arrosant tout le monde avec leurs trompes. Nous sommes invités pas un Cornac à monter dessus. Woooa mais il n’y a rien pour nous tenir, que la peau est rugueuse ! C’est effectivement très impressionnant les deux premières minutes ! Puis on reçoit notre premier gros jet de trompe dans la figure, on explose de rire, et… on en redemande ! C’est génial, un moment unique !

Bon évidemment le cornac est juste à côté pour éviter tout dérapage, et heureusement ! Cela ne ternit en rien la magie du moment. Puis on se rend au centre d’élevage des éléphants. C’est là-bas qu’on peut voir les bébés, qui restent auprès de leur mère attachés à des poteaux par des chaines. C’est triste de les voir attachées et en même temps c’est vital pour les humains. Ils pourraient faire trop de dégât. La preuve lors de cette scène rare à laquelle a assisté Adélaïde. Le petit d’un des pachydermes s’était en effet éloigné de sa mère pour aller jouer avec ses copains un peu plus loin, donc auprès d’autres mères. Mais ces autres éléphantes ont jeté le petit à terre et ont commencé  à le piétiner, voulant apparemment sciemment lui faire du mal. Sa mère voyant la scène a tiré de toute ses forces sur ces chaines pour voler au secours de son chérubin, chargeant comme jamais, semant la panique, menaçant d’ébranler toute la structure devant une centaine de touristes qui auraient été piétinés en quelques minutes. Les Cornacs se sont jetés sur le petit, l’ont tiré de toute leur force pour le faire revenir auprès de sa mère qui s’est immédiatement calmé : il était moins une.

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Dans les campagnes népalaises

May 31

Aujourd’hui mercredi 11 avril, nous partons en bus vers le Chitwan National Park. Si la route est toujours aussi chaotique, les paysages des rizières sont vraiment splendides.
Ces tons verts éclatants tranchent avec le gris des montagnes. Au bout de 6 heures, nous arrivons enfin à destination : l’auberge Chillax composée de 3 petites huttes avec des lits à moustiquaires. C’est sommaire mais bon… on essaiera de faire comme si on ne voyait pas les centaines de moustiques et les trous dans la moustiquaire. Les filles retrouvent Nicolas! Il revient du bain avec les éléphants, torse nu et couvert de boue mais l’air ravi, ça donne envie ! Il est également allé faire un safari à dos d’éléphants, en barque puis à pied dans le parc national. Au programme : cerfs, rhinocéros, crocodiles et même un king cobra, rarement aperçu des guides eux mêmes et très dangereux ! Le guide lui a également permis d’approcher un rhinocéros à travers les broussailles, c’est une expérience chargée en émotion, notamment lorsqu’il faut s’enfuir en courant car le rhino peut charger à tout moment! Nous partons en ville déjeuner tous les trois. Dans les huttes il n’y a pas d’électricité alors la petite cuisine ne donne pas très confiance. Nous découvrons la petite ville, réservons notre safari à dos d’éléphants pour le lendemain puis retournons dans nos huttes déjà envahies de bestioles en tout genre. L’électricité n’est toujours pas revenue, ce sera donc éclairage à la bougie. Le plus difficile c’est dans la salle de bain commune où les eaux remontent, et où les toilettes sont régulièrement bouchées… Enfin bon pour moins d’1€ la nuit on ne va pas faire les chochottes !
 

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Pokhara, havre de paix intense

May 31

Aujourd’hui lundi 9 avril, nous allons petit-déjeuner dans le quartier très touristique de Lakeside, dans un joli jardin avec vue sur le magnifique lac Phewa. Ces alentours sont boueux et pas mal pollué mais les montagnes se détachant dans le ciel aux alentours constituent tout de même un beau tableau. Au loin vers la gauche on aperçoit la Peace Pagoda, toute blanche et au sommet de la montagne. Vers l’horizon le ciel n’est pas assez dégagé mais en hiver il est possible d’apercevoir la chaîne des Anapurnas. Après cette bonne chose de faite, nous allons nous promener dans la ville, découvrir ces recoins. C’est si calme, si frais et chaud en même temps, si agréable. C’est vrai que l’on se sent bien ici. Hélène va réserver une randonnée à cheval dans les montagnes alentours et Adé du parapente qui seront tous deux annulés ; et Nico une excursion de canyoning, il part donc un jour avant les filles de Pokhara en direction de Sauraha où se trouve le Chitwan National Park

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Arrivée au Népal

May 31

Aujourd’hui dimanche 8 avril, nous arrivons déconcertés à ce qui semble être l’aéroport international de Katmandou et se réduisant à un vieux bâtiment vide, désuet et poussiéreux avec des pancartes écrites à la main. Ah d’accord… nous commençons la longue queue pour obtenir nos visas à $25. Nous rencontrons un Français roots qui nous conseille Pokhara, un petit coin de paradis où l’on peut passer des mois sans problème. Ça tombe bien, c’est notre première destination. Nous nous rendons à la station de bus public, du moins essayons tant le taxista veut nous arnaquer en nous emmenant chez des compagnies privées où il toucherait sa com. Après plusieurs énervements, on finit par atteindre la bonne destination. Enfin bonne, du moins une destination ! Parce que la station de bus est un foutoir sans nom où il est difficile de comprendre quoique ce soit, et encore moins d’obtenir des prix fixes et honnêtes. On réussit à monter dans un de ces vieux bus sans âge et bariolés de couleurs, valises sur le toit. Nous démarrons assez vite mais il nous faut plus de deux heures à quitter Katmandu car le chauffeur s’arrête partout pour essayer de remplir le bus. Quand nous quittons enfin la capitale bondée et surpolluée, nous découvrons une campagne très polluée mais très verte, et avec émotion nos premières rizières. Mais c’est souvent gâché par les déchets, les fumées noires de bus, les véhicules défoncés et les tôles ondulées des baraques. Les montagnes sont très pentues et le bus est bien poussif… il faut aussi dire qu’il se remplit à vue d’œil, au fil des arrêts le long de la route, dès qu’un passant lève le bras. Donc on arrive vite à saturation de l’espace vital… Finalement, de nuit, nous finissons par arriver à bon port, à peine égratignés. Après une première auberge pleine, nous atterrissons dans une grande auberge charmante possédant un petit jardin et une vue sur le lac depuis le toit… parfait.

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Le Taj Mahal, ode à l’amour

May 31

Un des bâtiments les plus romantiques du monde, construit par un Maharadja pour son épouse décédée. Observez plutôt…

Après des complications de trains et des complications sanitaires (Hélène et Nicolas malades comme des chiens), nous avons du renoncer à notre passage à Varanasi pour retourner à Delhi avant d’enchainer directement sur le Népal. Ici s’achève donc notre séjour en Inde!

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Réveil sur le sable et trains-couchettes pour Delhi

May 13

Aujourd’hui mardi 27 mars, réveil sur les dunes : les chiens sont toujours là mais inoffensifs. Notre petit-déjeuner nous attend, nous avons un long chemin pour rentrer. Tellement long que notre guide nous y emmène au trot… au trot de dromadaire oui tout à fait ! Et c’est assez folklorique en effet. C’est surtout très castratoire suivant Nicolas. Et simplement douloureux pour Adé et Hélène. Mais bon, ça change du bus au moins !  En arrivant à Jaisalmer nous embarquons dans un de ces fameux trains indiens pour 14 heures de trajet avant de rallier Delhi. Nous avons pris la classe 3AC, pour être sur de pouvoir dormir. 3 couchettes se superposent donc en hauteur. Des draps et même des prises électriques sont disponibles : grand luxe ! Seul le bruit et les toilettes laissent à désirer mais on ne va pas se plaindre non plus ! C’est dans l’ensemble très correct  pour ce à quoi on s’attendait après l’expérience des bus…
Nous passons quelques jours à Delhi, très colorée à l’image de l’Inde, au travers du marché de Dili hât, Humayun Tomb… Cela dit notre séjour ici restera surtout marqué par l’état d’Hélène et Nico, malades comme des chiens pendant trois jours…



Merci à Gustave, Shaurya et Aymeric pour leur accueil hors du commun et cette semaine passée avec eux d’où est ressorti ce clip-vidéo déjà culte : Brown Rang Ne

Brown Rang Ne au Terminal from NAH WORLD TOUR on Vimeo.

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Jaisalmer : Randonnée à dos de dromadaire dans le désert du Thar

May 12

Nous arrivons à Jaisalmer après 5 heures de bus qui se déroulent relativement bien malgré les nombreuses personnes entassées dans les allées et sur nos genoux. La route était aussi chaotique et détruite que toutes les routes vues à présent mais au moins on ne nous a pas embêtés plus que ça. Au sortir du bus, une foule compacte de rabatteurs nous entourent pour nous ramener dans leur hôtel. Certains clament leur gratuité, d’autres offrent des Jeep à 5 ruppes, certains ne se réclament d’aucuns hôtels… Une vraie basse-cour ! Un des nombreux rabatteurs s’empare du sac d’Hélène et le monte sur le toit de sa jeep. Adélaïde et Nico s’énervent et commencent à crier aussi fort que les rabatteurs pénibles et stressants. C’est vrai qu’on se sent chair à saucisse, ou portefeuille sur patte. Les rabatteurs quant à eux n’ont rien pour vivre à part leur tuk tuk et leurs commissions, c’est la basse saison en plus, ces gens ne nous veulent pas du mal, ils veulent gagner leur pain. Mais en attendant ils en deviennent presque agressifs à vouloir nous faire monter dans LEUR véhicule… Bref on finit par monter dans un tuk tuk 5 fois plus cher que les autres mais qui ne parlait d’aucun hôtel. Il nous emmène au bon endroit et nous nous installons dans une petite chambre pour 3 avec une douche et des toilettes empilées, comme d’habitude. C’est parfait. Nous bénéficions en plus d’une vue parfaite sur le fort.

Dès le lendemain, lever avec les vaches sacrées pour monter dans la jeep qui s’enfonce dans le désert.


Au bout de 40 minutes de poussière dans les yeux, nous voici arrivés au milieu de nul part où se trouvent nos deux guides et 4 dromadaires. Premier défi: monter sur le dromadaire ! Drôle d’animal que celui-là, aux lèvres pendantes, les yeux hagards, le poil court et rêche, les pieds tout plat et la figure grimaçante.

Leurs narines sont percées pour y amarrer une corde qui les dirige. On s’installe sur de gros coussins attachés sur sa bosse puis tire sur la corde pour le relever. Mais ce sont d’abord ses pattes arrières qui se lèvent, nous déséquilibrant à l’avant quelques instant avant que le tout nous soulève jusqu’à 2 mètres du sol. C’est impressionnant tout de même. La démarche est lente et très balançante : d’avant en arrière, cela fait assez mal à l’entrejambe. Ce sont les joies de la traversée du désert à dos de dromadaires.


Et puis les paysages sont magiques, entre les dunes de sable, les étendues rocailleuses, les petits champs entre deux huttes villageoises… et soudain : les enfants. Les enfants qui nous courent après, réclamant de l’argent et…et tentant de nous arracher nos chaussures ! Adélaïde les repousse… La sanction ne se fait pas attendre, les vilains gosses commencent à lui jeter des cailloux, mais des gros en plus. Nous avons beau nous éloigner assez vite, ces gosses visent bien ! Le guide nous raconte les mauvais effets des dons des touristes sur ces enfants. Encore une fois c’est parce que certains n’ont pas été responsables, en leur laissant montres, rupees et autres choses superficielles que désormais ils réclament. Le soir nous atteignons des dunes de sable d’où voir le coucher du soleil. Mais le smog permanent qui floute le ciel orangé indien ne permet pas de distinguer le soleil rougissant. Un petit thé chaï massala au lait pour accompagner le diner et il est temps d’installer le camp pour la nuit : 3 couvertures sur le sable et puis c’est bon. Mais une armée de scarabée est sorti du sable à la tombée de la nuit : ils ont tout envahi. Il nous faut donc nous déplacer au sommet de la dune pour avoir la paix…enfin jusqu’à 3 heures du mat, quand une horde de chiens sauvages a décidé de venir se blottir contre nous.

Péniblement nous les repoussons pour tenter de retrouver le sommeil sous le ciel étoilé.

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Les palais des Maharadjas et un festival Sindhi haut en couleur

Apr 30

Aujourd’hui samedi 24 mars, Adé qui n’est pas en grande forme se repose à l’hôtel pendant qu’Hélène et Nico visitent le cénotaphe de marbre blanc, construit par un maharadjah en l’honneur de sa femme juste après qu’elle soit décédée.

En rentrant, on assiste juste devant notre hôtel à un festival Sindhi (minorité indienne originaire du Pakistan) pour le moins surprenant… On voit que des couples dansent sur des chars mais en s’approchant… les femmes sont en fait des hommes ! En discutant avec des locaux, on apprendra plus tard que c’est parce que les femmes n’ont pas le droit de s’exhiber ainsi, les hommes préférant donc jouer le rôle de la femme plutôt que de voir la leur sur le char…

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Jodhpur la surpeuplée, égout à ciel ouvert mais Jodhpur la merveilleuse

Apr 30

Aujourd’hui jeudi 24 mars, nous partons pour Jodhpur dans un bus comme à l’habitude bien rempli, la route est magnifique.


Le majestueux fort rajput : Mehrangarh. Construit au 15 eme siècle par des maharajahs, cette forteresse est un exemple de raffinement, d’art et de culture à l’indienne (Pour l’anecdote, il servit de base à Tolkien pour la description des forteresses de son « monde du milieu »
).


Les sales du fort font office également de musée, on peut entre autres y apercevoir de très anciennes peintures et des palanquins.

A ses pieds, au Nord, s’étend la ville bleue, nommée d’après les couleurs des habitations provenant d’anciens brahmanes qui y vivaient et qui vénéraient Krishna, dont le visage est représenté en bleu.


On aperçoit également d’autres très beaux palaces du haut des remparts.

On fait ensuite un tour dans la ville en passant par le marché, ses magasins d’épices et ses ruelles bondées ainsi que la superbe Clock Tower, sur la place centrale de la ville. On y croise également une procession de femmes.


Pour finir, on se fait plaisir en allant gouter la spécialité locale, le thali : le riz est l’ingrédient principal, servi à volonté et accompagné de 5 sauces : chutney, du dal (sauce aux lentilles), des légumes, de la viande plus ou moins épicés et de 2 types de galettes : le roti et le chapati. et un dessert à base de lait et très sucré. On assiste en dînant à un spectacle de danse auquel se prête volontiers Hélène.

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